Face à la mobilisation du 1er février dans l’Enseignement public, aux mobilisations, en région parisienne (93, notamment) et dans notre académie, le gouvernement a manœuvré. Mais il n’a pas renoncé à ses plans : ni au « Choc des savoirs » dans l’Enseignement, ni à la loi « historique » annoncée par Macron contre le statut de fonctionnaire, imposant le salaire et l’avancement « au mérite ».
Le 17 mars les textes, piliers du « Choc des savoirs », sont parus au JO. Ainsi Attal a-t-il (...)
-* >> à lire l’interview de Bernard Dréano dans la revue L’Émancipation syndicale et pédagogique Des chars, des menaces, des solidarités